
« Les services de la Commission ont examiné la compensation proposée à EDF. Sur la base d’une évaluation préliminaire, les services de la Commission ont informé la France que la mesure ne doit pas faire l’objet d’un examen en plus grand détail dans le cadre des règles relatives aux aides d’Etat », a expliqué le porte-parole de la direction de la Concurrence de la Commission européenne.
Vendredi, un décret publié au « Journal officiel » indiquait également porter « à treize ans au lieu de dix le délai de mise en service de l’installation nucléaire de base dénommée Flamanville 3 », soit jusqu’à avril 2020. Ces deux conditions étaient les deux dernières nécessaires, après l’obtention par EDF d’une autorisation d’exploiter le réacteur numéro deux de Paluel (Seine-Maritime), qui restera à l’arrêt pendant plus de deux ans en raison de travaux et d’une avarie.
Sourfce: Lesechos.fr voir l'article complet